Les réponses opérationnelles à la gestion des risques de chute de hauteur peuvent être envisagées à plusieurs niveaux : l'organisation, la technique et l'humain. Trois exemples, à retrouver parmi de nombreux autres sur preventionbtp.fr.

    1 L'assemblage au sol des fermettes

    Le montage au sol de charpentes en fermettes limite la durée du travail en hauteur et réduit d'autant les risques de chute de hauteur. Le recours à la protection individuelle est limité et les déplacements jusqu'au poste de travail facilités. Les engins de levage sont moins utilisés que lors d'un montage sur place, et l'efficacité est améliorée.

    2 Une perche télescopique pour le démoussage des toits

    Pour les entreprises de couverture-zinguerie, l'utilisation d'une perche télescopique équipée d'une tête directionnelle rend plus sûres les conditions de démoussage des toits, en supprimant les postes de travail en hauteur. Avec cet équipement, un seul opérateur au sol suffit, contre deux lorsqu'il faut installer une nacelle ou un échafaudage.

    3 Des formations directement issues du terrain

    En professionnel avisé, Maryan Lhuillier, le gérant de l’entreprise de couverture-zinguerie Formdetoit (Eschau), a créé en parallèle l'Académie de la Hauteur. L’organisme dédié au risque de chute de hauteur fait office de laboratoire pour des innovations en termes de prévention. Testées en situation réelle par l’entreprise, elles sont ensuite proposées aux salariés en formation (lire aussi notre reportage).

    1 Assemblage au sol des fermettes.

    2 Une perche télescopique pour le démoussage des toits.

    3 Des formations directement issues du terrain.

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